Malgré le traitement de dialyse nombreuses sont les personnes qui préfèrent se faire transplanter car non seulement une transplantation est moins chère mais elle permet aussi une vie un peu plus facile. Pour se faire transplanter il existe néanmoins certaines conditions.
Donneur / Receveur :
Nous savons tous qu'une greffe quelle qu'elle soit n'est possible qu'avec un donneur. Il existe alors différentes façons d'être donneur et de nombreuses relations entre le donneur et le receveur.
Il est tout d'abord possible de prélever un rein sur une personne décédée. Le plus souvent il s'agit de personnes décédées d'un traumatisme crânien ou d'un accident vasculaire dans un service de réanimation. Une fois le constat de décès effectué, la possibilité de prélever des organes est envisagée. Ce donneur devra cependant avoir été un donneur d'organes durant son vivant. Aucun lien de parenté n'est demandé dans ce genre d'interventions.
Le prélèvement du rein chez une personne décédée est une véritable course contre la montre. En effet la possibilité de perdre le greffon avant la transplantation est importante.
Après le décès, une surveillance constante est installée : les organes doivent être préservés. Pour cela l'activité cardiaque et la respiration sont maintenues artificiellement. Cependant ce maintien ne peut durer plus de quelques heures car la qualité des greffons peut être altérée à n'importe quel moment. Pendant ces quelques heures l'équipe médicale se doit de rechercher l'opinion du défunt sur le don d'organes et ses antécédents médicaux. Il est possible d'être inscrit sur le registre National des refus de don d'organes et si ce n'est pas le cas des informations sont recueillies auprès de la famille du défunt. Si ce dernier n'y était pas opposé des examens sont effectués en laboratoire ( examens d'imagerie par exemples ) pour évaluer la qualité du greffon ( bilan sanguin ) et trouver un receveur compatible. Il est alors temps d'effectuer le prélèvement.
De préférence pour les reins le prélèvement doit être effectué dans l'heure suivant le décès. Le prélèvement est obligatoirement pratiqué dans un hôpital habilité par le ministère de la santé. Toutes entailles pratiquées sur le corps du défunt pour récupérer les organes seront recousues et nettoyées avant que la famille récupère le corps.
Après le prélèvement les greffons sont alors placés dans des glacières et transportés jusqu'à l'hôpital ou aura lieu la transplantation. Aujourd'hui plus de 2/3 des greffons rénaux proviennent de donneurs cadavériques.
Il existe aussi les donneurs vivants.
La loi n'autorise alors la greffe que si le donneur est un proche parent du receveur. Il doit apporter la preuve d'une vie commune d'au moins 2 ans. Pour ce type de transplantation la période d'attente est moins longue et la greffe a lieue à un moment qui convient à la famille. Le taux de réussite est aussi plus élevé que chez un donneur cadavérique : 90 à 96 % et une moyenne de 15 ans de vie pour le greffon contre seulement 80 % et une moyenne de 10 ans de survie. Lorsqu'un donneur est vivant il n'existe aucune limite d'âge. Seule la qualité du greffon compte. Chaque personne souhaitant donner son rein est obligée de passer devant le tribunal de Grande Instance et un bilan soigneux de son état psychique, de l'état bilatéral de sa fonction rénale et d'histocompatibilité est effectué. Ces examens peuvent engendrer une courte hospitalisation.
Examens effectués sur le donneur :
- déterminer le groupe sanguin et le groupe tissulaire HLA
- tests de compatibilité
- état du greffon
- évaluation de l'anatomie et de la fonction de chaque reins
- tests de dépistage des maladies sexuellements transmissibles
- état psychologique
Le donneur reste exposé au risque de toute anesthésie générale et de l'intervention chirurgicale. Après le don le donneur possède encore 80% de sa fonction rénale initiale, et elle ne se dégrade pas avec le temps. Certains peuvent cependant être interdits de don d'organes selon leurs antécédents médicaux ( cancer, diabète .. )
Le prélèvement d'un rein en vue d'une greffe s'appelle une néphrectomie. Elle nécessite une anesthésie générale. Deux techniques existent et le donneur fait part à l'équipe chirurgicale de celle qui lui convient.
La première est une technique classique : l'incision est réalisée en face du rein, sur le côté, soit sous les côtés. La coeloscopie est la deuxième technique. Plusieurs pinces sont introduites par des petites incisions dans l'organisme. Le chirurgien contrôle ses mouvements grâce à un système de vidéo insistance.
Les douleurs post-opératoires sont moins douloureuses avec cette intervention. Il est conseillé au donneur de reprendre une activité physique progressivement. Une néphrectomie ne compromet pas les grossesses à venir. Le donneur reprend donc une vie totalement normale. Cependant chaque année le donneur revient à l'hôpital pour des examens ( pression artérielle, mesure de la fonction du rein restant, recherche d'albumine dans les urines ).
Receveur :
Le futur receveur bénéficie lui aussi d'un bilan complet permettant de vérifier qu'il n'y a pas de problèmes empêchant la greffe.
Les personnes ayant des antécédents médicaux tels que des cancers ont peu de chances d'être greffés car les risques d'un retour des cellules cancéreuses dans l'organisme après la greffe sont importants.
Les dons d'organes sont anonymes dans le cas de décès cadavériques, de ce fait c'est l'agence de la bio-médecine qui décidera de la personne recevant le greffon. Tout cela dépend de la gravité de la maladie à guérir, de la localisation géographique du donneur et du receveur, et du temps de conservation du greffon.
Compatibilité tissulaire :
La compatibilité tissulaire consiste à une grande similitude des tissus du donneur avec ceux du receveur. Le donneur et le receveur doivent avoir cette compatibilité immunologique pour que la greffe réussisse. Au minimum il doit exister une compatibilité des groupes sanguins.
Le donneur et le receveur doivent donc posséder un code HLA quasi identique pour que les conditions de réussite des greffes soient optimisées. Pour vérifier cette compatibilité on effectue un cross- match : mis en présence des lymphocytes du greffon et du sérum du donneur, si le test est positif la greffe est impossible. En effet il existe 6 antigènes composant le code HLA et pour qu'une greffe réussisse le donneur et le receveur doivent en posséder au moins 4 en commun.
samedi 7 mars 2009
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La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l'herpès, Tasha Moore, qui a également témoigné au sujet de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center. J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com OU info@drituaherbalcenter.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de médicament à base de plantes. Je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de souffrance du brevet relatif au VIH, je suis guéri et exempt d'arv. Je lui suis toujours reconnaissant Drituaherbalcenter.Voici son numéro de contact: +2348149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Vers, Cancer, Herpès Virus, Hpv, Pile, Erection faible, Maladie de Lyme, Epilepsie, Glaucome., Tumeur cérébrale, psoriasis, Cataractes, Dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, Diarrhée chronique, Maladie pulmonaire. Augmentation de la prostate, Ostéoporose.Alzheimer,
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